Connaissez-vous la City de Londres ?

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La City de Londres n’est pas que le cœur historique de la ville. Il est aussi l’un des plus grands centres d’affaires en Europe et dans le monde. Son emblème est le dragon. Pas étonnant ! Ce quartier concentre les sièges sociaux de nombreuses banques, compagnies d’assurance et grandes entreprises multinationales. C’est également la 1e place financière au monde devant New York et Tokyo avec sa bourse : le London Stock Exchange.

Statue du dragon à Temple Bar, qui marque la frontière entre la Cité de Londres et celle de Westminster

Beaucoup de banques et de sociétés d’assurances sont implantées à Londres. Un second quartier financier abritant les sièges de HSBC, Reuters, Barclays, est en train de se développer à Canary Wharf, à l’est de la City. La moitié des plus influentes sociétés du Royaume-Uni, et une centaine des plus importantes sociétés européennes ont leur siège dans le centre de Londres. Les grandes sociétés médiatiques et de services professionnels sont concentrées à Londres elles aussi. Même si la City conserve de prestigieux monuments londoniens, comme la cathédrale Saint-Paul, on la reconnaît aujourd’hui grâce aux gratte-ciel, qui ont été construits ces dernières années, ceux-ci écrasant quelques immeubles anciens rescapés des bombardements de la Seconde Guerre mondiale. De nombreuses autres de ces tours qui sont actuellement en projet vont largement continuer à modifier l’aspect architectural du lieu.

Bien sûr il y a d’autres grands quartiers d’affaires à Londres en dehors de la City : Westminster, Canary Wharf, Camden & Islington et Lambeth & Southwark. Cela paraît presque normal quand on pense que la capitale britannique possède plus de 480 banques à l’étranger… Elle bénéficie également du plus grand nombre d’investissements de l’Union européenne.

Quand est-ce qu’on se remet à l’anglais ?

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L’économie de Londres : l’anglais a la cote

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Pour démarrer l’année 2012, rien de tel que l’ambition de progresser en anglais. Pourquoi ? Pour faire des affaires ! Important centre d’affaires internationales et de commerce, la ville de Londres fait partie des trois centres décisifs en matière d’économie mondiale (avec New York et Tokyo). Dans une carrière liée à la finance, elle reste un passage obligé. Grâce à sa première position européenne en tant que ville économique, Londres génère environ 20% du PNB britannique. De quoi lui permettre de tenir le rang bien en avant des autres pays européens. De plus, l’Angleterre figure parmi les pays les plus attractifs de la zone européenne pour la création d’entreprise et son fonctionnement. Nous ne plaiderons pas ici pour un départ en masse de nos économistes, financiers ou entrepreneurs français mais inciterons ces derniers ainsi que toutes les âmes avides de business, à s’inspirer sérieusement de la chose.

Petit rappel des avantages londoniens

Londres, capitale du business en Europe avec près de 300 000 personnes travaillant dans le secteur de la finance

Dès la Seconde Guerre Mondiale, Londres est passée à une économie de services bien avant les autres villes européennes. Cela est dû à plusieurs raisons. Bien sûr la langue anglaise qui est rapidement devenue la langue économique officielle. Par la suite, Londres est devenue un centre industriel et d’affaires qui collabore avec les Etats-Unis et les pays asiatiques. Son fuseau horaire lui permet de cumuler les heures de bureau locales avec celles de bien d‘autres pays. Et oui, ce détail technique fait aussi la différence… La loi britannique est la plus utilisée dans les affaires internationales car elle possède une infrastructure multiculturelle tandis que ses impôts sont relativement bas en particulier pour les étrangers. Enfin, Londres peut accueillir beaucoup d’entreprises car elle dispose d’une bonne infrastructure en ce qui concerne les transports. Ce qui amène près de 300 000 personnes à travailler dans le secteur de la finance et 85% de la population active de la métropole londonienne à travailler dans le secteur des services…

Nous parlerons prochainement de la City, un des plus grands quartiers d’affaires de Londres.

Et vous, prêts pour un séjour dans l’économie londonienne ?

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Partir à Londres pour les fêtes de fin d’année

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Pourquoi ne pas profiter de la fin d’année pour partir à Londres pratiquer son anglais ? Les fêtes de fin d’année doivent être l’occasion d’améliorer la langue anglaise tout en s’amusant. Cassez le quotidien et partez visiter les quartiers de Kensington, du Royal London et de Westminster ! Ajoutez-y une petite croisière à Greenwich, ou une balade dans le West End pour y voir les plus belles décorations de Noël et vous serez enchanté par la féérie de l’Angleterre. Pour mieux connaître la culture et les traditions anglaises de Noël et pour pratiquer la langue un maximum, rien de mieux que de partir à Londres. Tout le mois de janvier reste magique, voici quelques raisons de s’y déplacer :

La féérie de lumières et les animations. Au cœur de la capitale britannique, les somptueuses illuminations de Regent Street, Oxford Street et Bond Street méritent le voyage. Non loin de là, il ne faut pas manquer l’arbre de Noël de Trafalgar Square mesurant 20 mètres de haut.

Les marchés de Noël. Aux marchés de Greenwich et Spitafields on boit du vin chaud à la cannelle et on y déguste les mince pies, petits gâteaux aux fruits confits.  On y trouve des expositions d’artistes et des produits équitables.

Le Hyde Park Wonderland. C’est la fête à Hyde Park avec sa patinoire géante, sa grande roue et les animations pour enfants.

Les temples du shopping. Bien sûr Londres ne serait pas sans le fameux Harrod’s à Knightsbridge, devenu un lieu de pèlerinage pour les touristes du monde entier, qui se transforme en antre du père Noël, et sans Harvey Nichols qui propose ses « Christmas Boxes », coffrets cadeaux de spécialités culinaires haut de gamme. Du côté de Regent Street, nous rions faire un tour chez Hamleys, l’un des plus grands magasins de jouets au monde fondé en 1760 et chez Liberty et ses décorations flamboyantes.

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Londres : la Tate Modern expose la toile la plus chère au monde, oeuvre de Picasso

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Londres redevient une capitale fastueuse ! Le croirez-vous ? Une toile de Pablo Picasso, Nu au plateau de sculpteur, a été vendue récemment au prix le plus élevé jamais atteint lors d’enchères, à la Tate Modern, qui regroupe les collections d’art contemporain à Londres. Le record absolu des ventes d’art ! Il s’élève à plus de 106 millions de dollars. Cette peinture, qui date de 1932 et qui n’avait jamais été présentée dans la capitale britannique, n’avait été exposée qu’une seule fois, en 1961, pour commémorer le 80e anniversaire de Picasso.

La toile a été acquise par un mystérieux collectionneur privé chez Christie’s à New York le 4 mai dernier, au prix record de 106,5 millions de dollars (76 millions d’euros), un montant jamais atteint par une oeuvre d’art. Elle a été prêtée au musée où elle sera présentée dans une nouvelle salle consacrée au peintre.

La toile représente Marie-Thérèse Walter, l’amante et muse du peintre, étendue nue sous les yeux de l’artiste. A l’âge de 45 ans, alors qu’il était marié à Olga Kokhlova, Picasso avait rencontré la jeune femme âgée de 17 ans devant les Galeries Lafayette. Il lui aurait alors déclaré: « vous et moi allons réaliser de grandes choses ».

Ce n’est qu’à partir de 1931-32 qu’il commencera à en faire le sujet de ses toiles. «C’est une peinture remarquable et je suis ravi que grâce à la générosité de son propriétaire, nous soyons en mesure de la montrer pour la première fois au public britannique», a déclaré le directeur du musée, Nicholas Serota.

Londres, capitale de l’anglais et de la culture. Picasso, polyglotte, est emblême de l’Espagne… L’espagnol aimait parler français. Il s’installa à Paris en 1900 dans l’atelier du peintre Nonell à Montmartre. Il s’y imprègne de l’atmosphère du Moulin de la Galette. C’est bien dans la capitale française qu’il vend ses premières toiles. Plus tard, il s’installe au 130 ter boulevard de Clichy chez le marchand d’art Pedro Manach qui le loge pendant quelques mois dans son appartement personnel et lui offre un salaire.

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Au Brésil, parle-t-on portugais ou brésilien ? La langue portugaise (partie 2)

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Le plus vaste pays d’Amérique latine, le Brésil,  a été une colonie prospère de la couronne portugaise pendant plusieurs siècles. Aujourd’hui, seul héritage du Portugal en terre américaine, sa langue officielle reste le portugais. Depuis l’année 1500 où Pedro Alvares Cabral, découvrit les côtes brésiliennes et, revenant au Portugal, annonça avoir découvert de nouveaux territoires, la langue portugaise n’a cessé d’adoucir sa tonalité et de forger son caractère à travers un parler chanté.  De telle manière que les portugais du Portugal ne comprennent pas toujours les portugais du Brésil.

Outre sa superficie de 8 514 876 km² en 2011, sa population de 192 376 496 habitants et sa position de cinquième pays du monde par la superficie et par le nombre d’habitants, le Brésil est le plus grand pays lusophone du monde. Ceci amène le portugais à être la première langue d’Amérique du Sud et de l’hémisphère Sud.

Paulo Coelho, écrivain brésilien

Le romancier Paulo Coelho né en 1947 à Rio de Janeiro a acquis une renommée internationale avec la publication de L’Alchimiste, vendu à 65 millions d’exemplaires, en 56 langues (chiffres de 2008). Les récits de Coelho abordent des thèmes proches à chacun, notamment ceux concernant les rêves, les projets, les faiblesses, les doutes, et le sens de la vie… Ces thèmes concis ne s’embarrassent guère d’un décor somptueux : l’essentiel étant l’histoire des deux ou trois personnages bien ciblés qui se mesurent au destin. Homme engagé, il habite à Rio de Janeiro ou à Saint-Martin dans les Hautes-Pyrénées en France, en dehors des périodes où il voyage pour promouvoir son œuvre. Il consacre une partie de ses revenus à sa fondation qui s’occupe de jeunes et de personnes âgées délaissées à Rio. Sa langue, ses origines, il ne les a jamais quittées, vacillant entre langue portugaise et langue française.

Paulo Coelho, brésilien, est un des écrivains les plus connus au monde

Actualité : apprendre les langues par le CPF

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