La langue italienne pour mieux rêver

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Sans nul doute, la langue italienne est la langue des rêves et des voyages… et de quelques 200 millions de personnes !

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Apprendre l allemand, langue officielle de 6 pays !

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Qu’il est bien dur pour beaucoup d’apprendre l allemand… Et pourtant, cette langue indo-européenne appartenant à la branche occidentale des langues germaniques est parlée par plus de 100 millions de locuteurs ! Elle est l’une des langues les plus parlées en Europe et la plus parlée au sein de l’Union européenne.

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Parler anglais pour visiter la Nouvelle-Zélande

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A l’occasion de la Coupe du Monde de rugby, profitons de visiter la Nouvelle-Zélande ! L’anglais, le maori et le langage des signes néo-zélandais sont les langues officielles de la Nouvelle-Zélande. Cependant, l’anglais est de loin la langue la plus parlée, l’anglais de Nouvelle-Zélande est considéré comme une des principales variantes de l’anglais et est assez différent des autres formes pour être classé comme un dialecte distinct, qui a son propre dictionnaire : le dictionnaire Oxford d’anglais néo-zélandais. Certaines expressions ne signifient pas la même chose qu’en anglais britannique et peuvent gêner le voyageur… L’accent néo-zélandais est nasal avec des sons de voyelles « diminués », eux-mêmes considèrent leur accent différent des Australiens. Ceci explique pourquoi les néo-zélandais sont souvent offensés lorsqu’on les confond avec eux. Le maori est encore beaucoup parlé par une minorité d’autochtones, il est bien sûr possible d’étudier cette langue dans certains instituts. Quelques noms de villes sont en langue maori et il peut être utile pour le voyageur de connaître la prononciation. Enfin, le langage des signes néo-zélandais est devenu une langue officielle du pays en 2005.

Avec l’anglais, que peut-on visiter ?

Auckland bien sûr ! C’est la ville la plus vaste et la plus peuplée du pays. Elle fut même un temps considérée comme la plus étendue au monde. Terre très cosmopolite, les Asiatiques, principalement des Chinois, y sont nombreux, ainsi que les Polynésiens. Outre des Maoris, on trouve également des Samoans, des Fidjiens et même des Tahitiens. La région d’Auckland fut tout d’abord occupée par les Maoris qui s’y établirent dans les environs de 1350, attirés par les terres fertiles et riches de la région. Aujourd’hui il est toujours possible d’observer les traces de villages fortifiés maoris, des « pa », notamment sur les anciens volcans que sont le Mont E.

Nous vous conseillons aussi le Fiordland, bijou de la Nouvelle-Zélande. Un territoire immense, unique. Vous y trouverez plus de 700 espèces végétales uniques, une faune extrêmement riche (dont le Giant Kakapo), des paysages à couper le souffle et des centaines de kilomètres de sentiers de randonnée au milieu d’une nature totalement vierge. Autres endroits à visiter : le Paparoa Range national park pour ses vastes plages désertes, ses refuges de phoques et ses dauphins.

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Apprendre l’espagnol, deuxième langue du monde

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Savez-vous que plus de 500 millions de personnes parlent espagnol dans le monde ?

La langue espagnole dans le monde

En effet, 400 millions de personnes ont l’espagnol comme langue maternelle et 100 millions en deuxième langue, ce qui la hisse au deuxième rang mondial en nombre de locuteurs natifs. La langue espagnole, originaire du nord de l’Espagne, s’est diffusée dans le Royaume de Castille et s’est développée comme la langue principale du commerce et du gouvernement. Elle fut menée en Afrique, en Amérique et en Asie Pacifique avec l’expansion de l’empire espagnol entre le XVe et le XIXe siècle. Egalement appelée Castillan, l’espagnol est une langue romane, commune de l’Espagne et de nombreuses nations d’Amérique, ainsi que d’autres territoires dans le monde associés à un moment de leur histoire à l’ancienne métropole.

Dialectes, variations et… spanglish !

Le castillan parlé en Espagne possède une variété de dialectes importante dont l’andalou, le murcie, le castuo et le canarien tandis que les variations en Amérique hispanique sont tout à fait étonnantes. Parmi les plus remarquables, on peut citer l’utilisation d’un autre système de pronoms personnels. Le pronom de la troisième personne du pluriel ustedes (qui sert en Espagne uniquement à s’adresser à un ensemble de personnes que l’on vouvoie) remplace en Amérique hispanique le vosotros.vosotros (2e personne du pluriel, équivalent en Espagne au « vous » français lorsque l’on s’adresse à un ensemble de personnes que l’on tutoie). Autre variation importante : la prononciation ibérique de la consonne c (devant les lettres e et i) ou z (devant a, o et u), est une spirante interdentale (proche du th anglais). En Amérique latine le phonème se prononce toujours /s/, un important trait commun avec le canarien et une grande partie de l’andalou. Cette prononciation, appelée en espagnol « seseo », est généralisée en Amérique hispanique. Encore plus changeant en matière de variation, c’est le phénomène de spanglish, une conséquence du contact de la langue espagnole avec l’anglais, employé notamment par des locuteurs aux Etats-Unis. Cette variante de l’espagnol est étudiée dans certaines universités comme l’Université Amherst du Massachussets.

Exemple de spanglish : le mot camioneta en espagnol et truck en anglais devient troca en spanglish !

Connaissez-vous un auteur connu dans la langue espagnole ?

Oui ! Pablo Neruda (1904-1973) était le nom d’écrivain et, plus tard, le nom officiel de l’écrivain chilien et communiste Neftalí Ricardo Reyes Basoalto. Ces travaux ont été traduits dans des douzaines de langues. Pablo Neruda est considéré comme l’un des plus grands et plus influents poètes du XXe siècle. Neruda s’est illustré dans une large variété de styles, comme des poèmes romantiques chargés d’érotisme (tels que White Hills), des poèmes surréalistes, des épopées historiques et des manifestes ouvertement politiques. Ses poèmes les plus appréciés sont ses Odes aux choses cassées réunies en plusieurs volumes. Le romancier colombien Gabriel García Márquez l’a appelé « le plus grand poète du XXe siècle dans toutes les langues ». En 1971, Neruda gagna le prix Nobel de littérature, mais ce prix fut controversé à cause de son activisme politique.

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La diversité linguistique, une nécessité

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En avril 2005, des personnalités proches des institutions européennes, ont créé l’association « DLF Bruxelles-Europe, diversité linguistique » avec une devise empruntée au linguiste Claude Hagège : « On ne défend bien sa langue qu’en parlant celle des autres ». Défendre sa langue ne signifie pas défendre une citadelle. C’est, d’abord, sauvegarder son identité, puisque la langue c’est notre première et principale identité. Mais aussi, ensuite, au-delà du souci identitaire, d’un côté bien connaître sa propre langue et sa propre culture permet d’apprécier les convergences et les divergences lorsqu’on va à la rencontre de l’autre, et d’un autre côté apprendre une langue étrangère c’est pénétrer dans une culture, c’est relativiser ses propres valeurs, devenir plus tolérant, s’enrichir sans se nier. C’est être un double JE.

Si le français peut se sauver, c’est en s’alliant aux autres langues. En effet, il est clair qu’aujourd’hui les politiques unilatéralistes sont dépassées. Il faut s’allier pour réussir. C’est vrai pour les politiques économiques, la recherche. C’est vrai aussi pour les politiques linguistiques. Les déclarations conjointes franco-allemandes de 2003 ou de 2006, dénonçant une « dérive inacceptable vers un régime monolingue » anglophone à la Commission européenne, vont dans le bon sens. Elles sont malheureusement peu suivies d’effets.

Toute action en faveur de la diversité linguistique en Europe devrait se faire dans deux directions : les institutions européennes et la société civile. D’une part, exiger des institutions européennes qu’elles montrent l’exemple et respectent la diversité linguistique inscrite dans les traités fondateurs, d’autre part convaincre les citoyens européens que l’avenir appartient à ceux qui pourront travailler au moins dans trois langues. Un rapport récent publié par le British Council met en évidence que les jeunes Britanniques sont de plus en plus confrontés aux candidats continentaux plurilingues sur le marché du travail.

L’avenir appartient donc à sa capacité à parler plusieurs langues.

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