L’économie de Londres : l’anglais a la cote

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Pour démarrer l’année 2012, rien de tel que l’ambition de progresser en anglais. Pourquoi ? Pour faire des affaires ! Important centre d’affaires internationales et de commerce, la ville de Londres fait partie des trois centres décisifs en matière d’économie mondiale (avec New York et Tokyo). Dans une carrière liée à la finance, elle reste un passage obligé. Grâce à sa première position européenne en tant que ville économique, Londres génère environ 20% du PNB britannique. De quoi lui permettre de tenir le rang bien en avant des autres pays européens. De plus, l’Angleterre figure parmi les pays les plus attractifs de la zone européenne pour la création d’entreprise et son fonctionnement. Nous ne plaiderons pas ici pour un départ en masse de nos économistes, financiers ou entrepreneurs français mais inciterons ces derniers ainsi que toutes les âmes avides de business, à s’inspirer sérieusement de la chose.

Petit rappel des avantages londoniens

Londres, capitale du business en Europe avec près de 300 000 personnes travaillant dans le secteur de la finance

Dès la Seconde Guerre Mondiale, Londres est passée à une économie de services bien avant les autres villes européennes. Cela est dû à plusieurs raisons. Bien sûr la langue anglaise qui est rapidement devenue la langue économique officielle. Par la suite, Londres est devenue un centre industriel et d’affaires qui collabore avec les Etats-Unis et les pays asiatiques. Son fuseau horaire lui permet de cumuler les heures de bureau locales avec celles de bien d‘autres pays. Et oui, ce détail technique fait aussi la différence… La loi britannique est la plus utilisée dans les affaires internationales car elle possède une infrastructure multiculturelle tandis que ses impôts sont relativement bas en particulier pour les étrangers. Enfin, Londres peut accueillir beaucoup d’entreprises car elle dispose d’une bonne infrastructure en ce qui concerne les transports. Ce qui amène près de 300 000 personnes à travailler dans le secteur de la finance et 85% de la population active de la métropole londonienne à travailler dans le secteur des services…

Nous parlerons prochainement de la City, un des plus grands quartiers d’affaires de Londres.

Et vous, prêts pour un séjour dans l’économie londonienne ?

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Partir à Londres pour les fêtes de fin d’année

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Pourquoi ne pas profiter de la fin d’année pour partir à Londres pratiquer son anglais ? Les fêtes de fin d’année doivent être l’occasion d’améliorer la langue anglaise tout en s’amusant. Cassez le quotidien et partez visiter les quartiers de Kensington, du Royal London et de Westminster ! Ajoutez-y une petite croisière à Greenwich, ou une balade dans le West End pour y voir les plus belles décorations de Noël et vous serez enchanté par la féérie de l’Angleterre. Pour mieux connaître la culture et les traditions anglaises de Noël et pour pratiquer la langue un maximum, rien de mieux que de partir à Londres. Tout le mois de janvier reste magique, voici quelques raisons de s’y déplacer :

La féérie de lumières et les animations. Au cœur de la capitale britannique, les somptueuses illuminations de Regent Street, Oxford Street et Bond Street méritent le voyage. Non loin de là, il ne faut pas manquer l’arbre de Noël de Trafalgar Square mesurant 20 mètres de haut.

Les marchés de Noël. Aux marchés de Greenwich et Spitafields on boit du vin chaud à la cannelle et on y déguste les mince pies, petits gâteaux aux fruits confits.  On y trouve des expositions d’artistes et des produits équitables.

Le Hyde Park Wonderland. C’est la fête à Hyde Park avec sa patinoire géante, sa grande roue et les animations pour enfants.

Les temples du shopping. Bien sûr Londres ne serait pas sans le fameux Harrod’s à Knightsbridge, devenu un lieu de pèlerinage pour les touristes du monde entier, qui se transforme en antre du père Noël, et sans Harvey Nichols qui propose ses « Christmas Boxes », coffrets cadeaux de spécialités culinaires haut de gamme. Du côté de Regent Street, nous rions faire un tour chez Hamleys, l’un des plus grands magasins de jouets au monde fondé en 1760 et chez Liberty et ses décorations flamboyantes.

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Londres : la Tate Modern expose la toile la plus chère au monde, oeuvre de Picasso

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Londres redevient une capitale fastueuse ! Le croirez-vous ? Une toile de Pablo Picasso, Nu au plateau de sculpteur, a été vendue récemment au prix le plus élevé jamais atteint lors d’enchères, à la Tate Modern, qui regroupe les collections d’art contemporain à Londres. Le record absolu des ventes d’art ! Il s’élève à plus de 106 millions de dollars. Cette peinture, qui date de 1932 et qui n’avait jamais été présentée dans la capitale britannique, n’avait été exposée qu’une seule fois, en 1961, pour commémorer le 80e anniversaire de Picasso.

La toile a été acquise par un mystérieux collectionneur privé chez Christie’s à New York le 4 mai dernier, au prix record de 106,5 millions de dollars (76 millions d’euros), un montant jamais atteint par une oeuvre d’art. Elle a été prêtée au musée où elle sera présentée dans une nouvelle salle consacrée au peintre.

La toile représente Marie-Thérèse Walter, l’amante et muse du peintre, étendue nue sous les yeux de l’artiste. A l’âge de 45 ans, alors qu’il était marié à Olga Kokhlova, Picasso avait rencontré la jeune femme âgée de 17 ans devant les Galeries Lafayette. Il lui aurait alors déclaré: « vous et moi allons réaliser de grandes choses ».

Ce n’est qu’à partir de 1931-32 qu’il commencera à en faire le sujet de ses toiles. «C’est une peinture remarquable et je suis ravi que grâce à la générosité de son propriétaire, nous soyons en mesure de la montrer pour la première fois au public britannique», a déclaré le directeur du musée, Nicholas Serota.

Londres, capitale de l’anglais et de la culture. Picasso, polyglotte, est emblême de l’Espagne… L’espagnol aimait parler français. Il s’installa à Paris en 1900 dans l’atelier du peintre Nonell à Montmartre. Il s’y imprègne de l’atmosphère du Moulin de la Galette. C’est bien dans la capitale française qu’il vend ses premières toiles. Plus tard, il s’installe au 130 ter boulevard de Clichy chez le marchand d’art Pedro Manach qui le loge pendant quelques mois dans son appartement personnel et lui offre un salaire.

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Ernest Hemingway, américain francophone

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Rares sont les américains polyglottes ! Ernest Hemingway le fut. L’homme de lettres aimait partager son temps entre les deux langues de son coeur : l’anglais et le français. De son Illinois profond des États-Unis, il n’a jamais cessé de voyager, d’aller voir « l’ailleurs », de connaître tant de pays… Il fut l’écrivain voyageur, le passeur, le journaliste investi dans la vérité. La France arrivait largement en tête de ses destinations préférées !

Photo de passeport d’Ernest Hemingway en 1923. Le jeune américain découvre alors Paris et ses charmes

La France, havre de culture

Son pays favori fut sans contexte celui du béret et de la baguette. Hemingway se prend au jeu et devient adepte de nos habitudes. Les bistrots, les intellectuels, l’effervescence des années 20 conquièrent son coeur. L’américain adore faire partie de la communauté anglophone de Paris, à l’époque très en vogue et vivant à toute vitesse. Il demeure, avec sa femme Hadley, au troisième étage du 74 rue du cardinal Lemoine de janvier 1922 à août 1923. Pour une durée courte puisqu’il part comme journaliste à la guerre d’Espagne, aux côtés des Républicains, il y rencontrera Malraux. Ce n’est qu’à la fin de la seconde guerre mondiale qu’il revient en France, le cher pays.

« Paris est une fête »

Dans le livre Paris est une fête qu’il écrit entre 1957 et 1960, l’auteur témoigne de ses premières années d’écrivain désargenté à Paris dans les années 20. Jeune journaliste, il abandonne son travail pour essayer de vivre de son écriture. Il arrive dans la capitale française avec sa charmante épouse ; le couple vit d’amour et de vin frais… Nombre d’aventures arriveront après : les guerres, les femmes, les livres, les reconnaissances dont le prix Nobel de littérature en 1954 « pour le style puissant et nouveau par lequel il maîtrise l’art de la narration moderne, comme vient de le prouver Le Viel Homme et la Mer ». Il donne à Stockholm, devant le jury de l’Académie suédoise, le discours le plus court de l’histoire de cette institution. Comment expliquer que l’on puisse autant aimé l’anglais et le français ?

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Parler anglais pour visiter la Nouvelle-Zélande

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A l’occasion de la Coupe du Monde de rugby, profitons de visiter la Nouvelle-Zélande ! L’anglais, le maori et le langage des signes néo-zélandais sont les langues officielles de la Nouvelle-Zélande. Cependant, l’anglais est de loin la langue la plus parlée, l’anglais de Nouvelle-Zélande est considéré comme une des principales variantes de l’anglais et est assez différent des autres formes pour être classé comme un dialecte distinct, qui a son propre dictionnaire : le dictionnaire Oxford d’anglais néo-zélandais. Certaines expressions ne signifient pas la même chose qu’en anglais britannique et peuvent gêner le voyageur… L’accent néo-zélandais est nasal avec des sons de voyelles « diminués », eux-mêmes considèrent leur accent différent des Australiens. Ceci explique pourquoi les néo-zélandais sont souvent offensés lorsqu’on les confond avec eux. Le maori est encore beaucoup parlé par une minorité d’autochtones, il est bien sûr possible d’étudier cette langue dans certains instituts. Quelques noms de villes sont en langue maori et il peut être utile pour le voyageur de connaître la prononciation. Enfin, le langage des signes néo-zélandais est devenu une langue officielle du pays en 2005.

Avec l’anglais, que peut-on visiter ?

Auckland bien sûr ! C’est la ville la plus vaste et la plus peuplée du pays. Elle fut même un temps considérée comme la plus étendue au monde. Terre très cosmopolite, les Asiatiques, principalement des Chinois, y sont nombreux, ainsi que les Polynésiens. Outre des Maoris, on trouve également des Samoans, des Fidjiens et même des Tahitiens. La région d’Auckland fut tout d’abord occupée par les Maoris qui s’y établirent dans les environs de 1350, attirés par les terres fertiles et riches de la région. Aujourd’hui il est toujours possible d’observer les traces de villages fortifiés maoris, des « pa », notamment sur les anciens volcans que sont le Mont E.

Nous vous conseillons aussi le Fiordland, bijou de la Nouvelle-Zélande. Un territoire immense, unique. Vous y trouverez plus de 700 espèces végétales uniques, une faune extrêmement riche (dont le Giant Kakapo), des paysages à couper le souffle et des centaines de kilomètres de sentiers de randonnée au milieu d’une nature totalement vierge. Autres endroits à visiter : le Paparoa Range national park pour ses vastes plages désertes, ses refuges de phoques et ses dauphins.

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