Hier soir avait lieu le dernier concert de piano de l’année 2014 dans le cadre du mécénat qui lie ADomLingua et les Pianissimes.
Le ravissement était complet. Sur WebTheatre Christian Wasselin écrit:
« Le pianiste Guillaume Coppola offre une délicieuse schubertiade dans l’un des plus beaux lieux qui soient à Paris. (…)
on se félicite qu’y aient lieu de temps en temps, mais trop peu souvent, des soirées musicales comme celle organisée le 9 décembre par les Pianissimes*. (…)
Le programme était presque idéalement conçu : l’énigmatique et allante Mélodie hongroise pour commencer, reprise à la fin, à quatre mains avec Hervé Billaut, dans le cadre du finale très développé du Divertissement à la hongroise. Entre ces deux pôles, Guillaume Coppola nous rappela quel mélodiste prodigue était Schubert, à la faveur de quelques pages extraites des Valses nobles et des Valses sentimentales (double titre que Ravel télescopa en un seul), puis aborda la Sonate en la mineur D 537, dont le deuxième mouvement a tout de l’accompagnement d’un lied qui soudain s’abandonne à sa fantaisie. (…)
